Mes
entrailles sont dans l’plâtre
Surtout
ne pas devenir acariâtre
On
m’tend des perches, quelques balafres
Les
belliqueux cafards s’immoleront dans leur « dèche »
J’vois
pas ce qu’il ya de censé
A
reluquer sa face
et
s’montrer besogneux
En
f’sant croire qu’on a d’l’esprit
Sans
être un fin génie et dépourvu d’audace
Ni
vitalement gourmet : sont-ce là les capricieux ?
Qui
y a –t-il d’élogieux à saluer l’autre
En
se foutant d’ce qu’il est
Quitte
à vouloir sa peau
Et
s’dire qu’on a rien fait
Que
sous le pont est passé l’eau,
Comme
si de rien n’était
Sans
reconnaître qu’on est qu’un pleutre ?
Je
n’irai pas quelque part
Sans
d’abord être ailleurs
Remettre
en marche mon ardeur
Et
ne plus piquer un fard
Loin
d’ceux qui s’vantent depuis longue date
Revendiquer
cuver leur champagne à quat’pattes
Et
soudoyer les gens pour je n’sais quel
prix à payer
Emettre
leur éventuelle fragilité
Alors
que leurs cœurs sont froids
Mais
à quoi correspond leur réelle destinée ?
Quand
est-ce que s’ront renouvelées les lois ?

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