Mon p’tit doigt rend l’âme
Et sans faire d’amalgame
Le voilà complètement en panne
De me distraire avec une vanne
Mon p’tit doigt me dit qu’il n’en a plus pour longtemps
Mais qui va m’ divertir durant tout l’reste de c’ temps ?
Il se sent comme dans une ville à feu et à sang
Il n’est plus à prendre avec des gants
Mon p’tit doigt se meurt de la fatigue grimpante
La moindre farandole le rend tout chancelant
Il se terre, las, de ses soi-disant concurrents
Ermite reclus d’espérances latentes.
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